Le 7 décembre 1992, le monde de l’art perdait un authentique artiste : Ludwik Klimek. Ce n’était pas un inconnu à Antibes, il y a vécu de nombreuses années – les dernières de sa vie. Hélas, il mourut sans avoir pu réaliser son rêve : décorer le plafond de la chapelle de la Garoupe comme Chagall l’avait fait pour celui de l’Opéra de Paris.
Lire la suite sur Nice Matin
https://www.nicematin.com/vie-locale/ludwik-klimek-l-art-en-totale-discretion-25558